Liversite, fils de Léopold DuMareche avait un rêve depuis son enfance. Parcourir le monde et explorer des contrées lointaines. Malheuresement une tragédie se produisit, alors
que Liversite fendait du bois, il entendis un grondement du côté de la montagne, qui, se rapprochait du village. C'est alors qu'il vit au dessus de la montagne, une armée comme jamais il n'aurait pu imaginer. Il devait bien y avoir quinze milles hommes montés à cheval, l'épée au fourreau. La panique s'installa dans le village; l'alerte fut donnée et tous les villageois se regroupèrent au port pour s'enfuir par bateau.
Le lendemain les bateaux dérivaient sur la mer plutôt calme. Puis le soir vînt une tempête, les vagues emportaientt tout, le bois des bateaux craquait.
Liversite fut emporté par une vague mais dans un dernier effort reussit a se raccrocher a une planche de bois. Il perdit conscience.
Liversite se reveilla, il dérivait lentement sur la planche, il ne savait pas depuis combien de temps il était inconscient. Il appela, cria de toute ses forces le nom de son
père .... rien a part le doux son du vent. Il dériva.
Deux jour plus tard Liversite en avait marre de la mer et du ciel bleu qui ne changeait que pour faire place à une nuit noir. Allongé sur un bout de planche,
il n'avait rien d'autre à faire que d'attendre et de penser a son village perdu, a son père, a ses amis..
Dans ses pensées, il ne remarqua pas tout de suite que son radeau de fortune avait glissé sur du sable fin, sans un bruit.
Fatigué et lasse, il voulu en finir.
"C'en est fini de moi."
Il roula sur le côté avec la ferme intention de se jeter à l'eau et qu'elle ne fut pas sa surprise quand il remarqua qu'au lieu de tomber à la mer servir de repas aux pieuvres,
il n'avait que du sable dans les cheveux. Se relevant en toutes hâtes, sa joie du s'entendre à quelques centaines de mètres à la ronde.
"Hourra!!!!! Enfin la terre... Ou du moins du sable!!!"
Son courage à la main et son bout de planche sous le bras, Liversite courut pour quitter la plage et rejoindre la terre et avec un peu de chance,
une ville. Mais a bout de force Liversite s'effondra sur le sol après à peine quelques pas.
Quelques temps plus tard...
"Il a l'air d'ouvrir les yeux monsieur le maire..."
Liversite clignait des yeux mais ne voyait rien d'autre qu'une silhouette floue d'un homme, ou peut être d'une femme.
"Il a de la chance que je soit passer par là, pour une fois que je fait un detour en rentrant du travail, Monsieur."
Un autre homme apparu dans le champs de vision de Liversite et celui ci semblait de la haute société.
La vision du blessé s'améliora et il vit que le premier homme était bien habillé mais celui-ci s'éloigna bien vite avant de parler à nouveau.
"Qu'allons faire de lui?"
Voili voilou, et pour ma faction je l'ai écrit dans mon premier message (la légion).
liversite